Le terme de Bible vient du grec ancien "biblos" qui signifie : le "livre".
Telle que nous la connaissons, la Bible est le fruit d'une constitution progressive associant les livres de l'Ancien (ou premier) Testament (ou alliance) et ceux de la seconde alliance : le Nouveau Testament qui nous est parvenu en grec.
Le grec était la langue utilisée couramment dans le bassin oriental de la Méditerranée à l'époque de sa rédaction : au premier siècle de l'ère chrétienne.
Les 27 livres composant le Nouveau Testament, sur un total de 66 livres constituant la Bible, ont été considérés comme canoniques au terme de débats parfois animés au sein de l'Eglise des premiers siècles.
D'autres écrits, postérieurs au temps des apôtres (premier siècle) ont été écartés et sont qualifiés d'apocryphes (non authentiques).
Concernant les textes canoniques, on ne possède aucun texte original mais de nombreuses copies de manuscrits. De ce fait, toute traduction doit mentionner ses sources.
Le texte grec qui a servi pour cette nouvelle traduction est celui de la troisième édition du Nouveau Testament d'Aland, Black, Martini, Metzger et Wikgren.
Cependant, toute traduction a ses limites et comporte une part de subjectivité. Disposer de différentes traductions permet de confronter les différentes interprétations et de permettre ainsi à chacun d'avoir sa propre grille de lecture.
Cette nouvelle traduction, tout comme la production de ces pages sur le Nouveau Testament, est une initiative personnelle. C'est l'aboutissement d'une vingtaine d'années de recherches et de réflexions.
Ce travail s'inscrit dans l'attente du retour de notre Seigneur Jésus Christ avec la volonté manifeste de mettre en avant ce principe :