AVOIR LA FOI EN DIEU ... CROIRE EN JESUS CHRIST


Le sens de la vie.

Epître à Tite (3.14 ~ Traduit du grec) :

« Que les nôtres apprennent aussi à exceller

dans de belles œuvres pour subvenir aux besoins pressants,

afin qu’ils ne soient pas sans porter de fruits. »

LA BIBLE

AU QUOTIDIEN

Lecture du

14 Novembre


La Bible expliquée traduit ce verset comme suit :

« Il faut que les nôtres aussi apprennent à s'engager à fond dans des actions bonnes, afin de pourvoir aux besoins importants et de ne pas mener une vie inutile. »

De nombreuses œuvres de bienfaisance ont été et demeurent le produit de l'initiative d'hommes et de femmes charitables ayant à cœur de concrétiser la Parole de Dieu.

Mais c'est aussi bien souvent en dehors des milieux chrétiens que l'on rencontre des personnes dévouées aux œuvres solidaires, au niveau local, national ou international.

Ces personnes cherchent manifestement à donner un sens à leur vie, une raison d'exister au-delà de leur seule personne ou de leur famille, afin de ne pas avoir le sentiment d'avoir mené une vie inutile.

Il semble que sur ce terrain certains chrétiens des premiers temps, tout comme de nos jours, négligeaient de s'investir, trouvant probablement dans la foi une source suffisante d'accomplissement.

Il est pourtant écrit dans la Bible ... « Veux-tu savoir, ô homme vain, que la foi sans les œuvres est inutile ? » (Jacques 2.20)

La vie d'un chrétien, concentrée sur soi, même si Dieu y est associé, a-t-elle un sens ?

« Si un frère ou une sœur sont nus et manquent chaque jour de nourriture, et que l’un d’entre vous leur dise :

"Allez en paix, chauffez-vous et rassasiez-vous", sans rien leur donner de ce qui est nécessaire au corps, à quoi bon ?

Il en est de même pour la foi : si vous n'avez pas les œuvres, elle est morte en soi. » (Jacques 2.15-17)

Dieu n'a-t-Il pas créé une multitude d'individus afin que ceux-ci apprennent à vivre dans la solidarité et l'harmonie ?

Le sens de la vie ne peut se limiter à l'individualisme.

Il doit nécessairement porter vers l'altruisme.

L'altruisme n'est pas une tendance naturelle car l'homme, à sa naissance, ignore l'existence des autres.

Il n'a pas encore développé la conscience de son environnement.

Puis l'enfant va grandir et découvrir le monde environnant.

Sera-t-il sensible aux souffrances des autres ?

Son environnement familial et toutes les relations humaines qu'il va construire peuvent y contribuer.

Ou, au contraire, son éducation peut l'inciter à se replier sur lui, indifférent face au reste du monde.

Quel est le rôle de l'Eglise dans tout cela ?

Eveiller l'enfant à l'amour du prochain ou l'inciter à l'indifférence ?

Jésus nous a donné la solution en répondant à un Pharisien.

« L’un d’entre eux, un légiste, L'interrogea pour Le tenter :

Maître, quel est le plus grand commandement de la loi ?

Il lui déclara : Tu aimeras le Seigneur, ton Dieu, de tout ton cœur, de toute ton âme, et de toute ta pensée.

C’est le plus grand et le premier commandement.

Le deuxième est semblable à celui-ci : Tu aimeras ton prochain comme toi-même.

De ces deux commandements dépendent toute la loi et les prophètes. »

(Matthieu 22.35-40)

Aimer son prochain ...

C'est plus qu'un conseil ...

c'est un commandement qui donnera un sens réel à notre vie !

Le sens de la vie : les bonnes oeuvres.

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Les bonnes œuvres

Epître à Tite

Traduit du grec : versets 3.1 à 3.15

1. Tu leur rappelleras d'être subordonnés aux dirigeants et aux autorités, d'obéir, afin d'être prêts pour toute œuvre bonne.

2. Que personne ne porte d'injure, évitons les bagarres, soyons indulgents en affichant une réelle douceur envers tous les humains.

3. Car nous aussi, autrefois, étions insensés, désobéissants, égarés, asservis aux désirs et plaisirs de toutes sortes, passant notre temps dans la méchanceté et l'envie, odieux, nous haïssant les uns les autres.

4. Cependant, la bonté de Dieu notre Sauveur et Son amour envers les hommes se sont manifestés.

5. Il nous a sauvés, non en vertu d'œuvres justes que nous aurions accomplies, mais au gré de Sa miséricorde, par le bain de la nouvelle naissance et du renouvellement dans l'Esprit Saint.

6. Il l'a répandu sur nous en abondance par Jésus Christ notre Sauveur.

7. Ainsi justifiés par Sa grâce, nous devenons, selon l'espérance, héritiers de la vie éternelle.

8. Cette parole est digne de foi ! Et je veux que tu sois très attentif à ce sujet : que ceux qui ont cru en Dieu soient soucieux de pratiquer de bonnes œuvres. Voilà qui est beau et utile aux hommes !

9. Evite les recherches insensées sur les généalogies, les polémiques et controverses relatives à la loi, car elles sont inutiles et vaines.

10. Ecarte celui qui est hérétique, après un premier puis un second avertissement.

11. Tu sais qu'un tel individu est dévoyé, il pèche et se condamne lui-même.

12. Quand je t’enverrai Artémas ou Tychique, efforce-toi de venir me rejoindre à Nicopolis, car j’ai décidé d'y passer l’hiver.

13. Pourvois avec soin au voyage de Zénas, le juriste, et d’Apollos, en sorte que rien ne leur manque.

14. Que les nôtres apprennent aussi à exceller dans de belles œuvres pour subvenir aux besoins pressants, afin qu’ils ne soient pas sans porter de fruits.

15. Tous ceux qui sont avec moi te saluent. Salue ceux qui nous aiment dans la foi. Que la grâce soit avec vous tous !

Epître à Philémon : versets 1 à 25 >>>