Evangile selon Matthieu : Chapitre 18
5. « Et quiconque accueille en mon nom un seul petit enfant comme celui-ci, m'accueille.
6. Mais pour celui qui scandalise un seul de ces petits qui croient en moi, il serait préférable pour lui qu’on suspende à son cou une grosse meule et qu’il soit submergé par le flot de la mer.
7. Quel malheur pour ce monde à cause des scandales. Car il est nécessaire qu’il arrive des scandales, mais malheur à l’homme par qui le scandale arrive.
8. Si ta main ou ton pied te fait trébucher, coupe-le et jette-le loin de toi. Il vaut mieux pour toi entrer dans la vie manchot ou boiteux que d'être jeté dans le feu éternel en ayant deux mains ou deux pieds.
9. Et si ton œil te fait trébucher, arrache-le et jette-le loin de toi. Il vaut mieux pour toi entrer borgne dans la vie que d'être jeté dans la géhenne de feu en ayant deux yeux.
10. Gardez-vous de mépriser un seul de ces petits. En effet, je vous dis que leurs anges dans les cieux sont en présence de mon Père céleste en permanence. »
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Evangile selon Marc : Chapitre 9
42. « Celui qui sera une cause de scandale pour un seul de ces petits qui croit en moi, il serait préférable pour lui qu'on lui mette une grosse meule autour du cou pour le jeter dans la mer. »
1. Il dit ensuite à Ses disciples : « Il est inévitable qu'il y ait des occasions de chute. Mais malheur à celui qui en est la cause.
2. Il vaudrait mieux pour lui qu'on lui passe au cou une meule de moulin et qu'on le jette en mer plutôt qu'il soit une occasion de chute pour un seul de ces petits. »
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Commentaires et annotations
Les scandales
« Il est inévitable qu'il y ait des occasions de chute. » (Luc 17.1)
Face aux tentations, chacun est confronté à deux voies : celle du bien ou celle du mal.
Combien ont succombé, notament au détriment d'enfants qui auraient pu grandir dans la foi mais s'en sont détourné du fait d'éducateurs pervers ...
« Malheur à celui qui en est la cause. » (Luc 17.1)
Ces paroles résonnent douloureusement en ces temps où les bouches des victimes ont fini par s'ouvrir.
Mais combien se sont tus pendant des siècles ?
« Gardez-vous de mépriser un seul de ces petits. En effet, je vous dis que leurs anges dans les cieux sont en présence de mon Père céleste en permanence. » (Matthieu 18.10)
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