« Ainsi, justifiés par la foi, nous obtenons la paix
avec Dieu par notre Seigneur Jésus Christ. »
(Romains 5.1)
Depuis la chute, et l'éviction des premiers humains du jardin d'Eden, le pacte de paix entre Dieu et l'ensemble de l'humanité est rompu.
Aussitôt, pour couvrir le péché et en atténuer les conséquences, des créatures innocentes et inconscientes allaient mourrir à la place des pécheurs.
« Et il fit, JHVH Elohim, pour Adam et sa femme des tuniques de peau, et il les en revêtit. » (Genèse 3.21)
Pour couvrir la nudité qui, auparavant ne posait aucun problème, Dieu fut ainsi contraint de sacrifier des animaux.
Avec le péché, la mort était entrée dans le monde, et le sacrifice d'êtres vivants allait devenir une pratique rituelle.
« Et quand les jours furent venus, alors Caïn apporta du fruit de la terre en offrande à JHVH.
Mais Abel offrit, de plus, des premiers-nés de son troupeau, de leurs parties grasses. »
(Genèse 4.3-4)
Le Premier Testament abonde en descriptions de sacrifices de toutes sortes d'animaux.
De telles pratiques semblent de nos jours inconcevables car les mentalités modernes ont évolué.
Mais n'ont-elles pas évolué parce qu'un jour un homme, Fils de Dieu, se sacrifia en se laissant crucifier ?
Ce faisant, non seulement Il mettait un terme aux pratiques ancestrales, mais Il mourrait à notre place en rétablissant le pacte de paix selon la volonté de Dieu.
« Car Dieu a tellement aimé le monde qu'il a donné son Fils, l'Unique, afin que quiconque croit en lui ne soit perdu mais qu'il ait la vie éternelle. » (Jean 3.16)
Quiconque fait profession de foi en Lui, Jésus Christ, est ainsi justifié par la foi.
Car « notre vieil homme a été crucifié avec Lui, afin que le corps du péché soit anéanti, pour ne plus être esclaves du péché. » (Romains 6.6)
Quiconque confesse Son Nom, et se libère ainsi de l'esclavage du péché, s'approche du Royaume de Dieu, dans la paix de Dieu.
« Ainsi la paix de Dieu qui surpasse toute intelligence gardera vos cœurs et vos pensées en Jésus Christ. » (Philippiens 4.7)
Matthieu 24.13
Mais attention : « Celui qui restera ferme jusqu’à la fin, lui sera sauvé. »
Si nous sommes justifiés par la foi, nous n'en sommes pas pour autant sauvés :
« Car c'est en espérance que nous avons été sauvés. » (Romains 8.24)
Le salut n'est pas dernière nous, au jour de notre conversion qui a permis notre justification ... il est devant nous, au jour de notre mort, ou de notre enlèvement auprès du Seigneur, si nous avons gardé Ses enseignements en les mettant en pratique.
Matthieu 25.34-36 : « Alors le roi dira à ceux sur sa droite :
Venez, vous qui êtes bénis de mon Père. Héritez du Royaume qui vous a été préparé dès la fondation du monde.
En effet, j’ai eu faim et vous m’avez donné à manger. J’ai eu soif et vous m’avez donné à boire. J’étais étranger et vous m’avez recueilli. Nu, et vous m’avez vêtu.
J’étais malade et vous m’avez rendu visite. J’étais en prison et vous êtes venus vers moi. »