Dans un monde où règne la loi du silence, où ce qui touche à la spiritualité ne doit pas quitter l'enceinte des lieux de culte, nous sommes confrontés à ce choix :
- Avoir honte de Jésus en se taisant sur les vérités qu'Il a énoncées ...
... ou proclamer notre foi au grand jour !
- Vivre à l'image de la génération pervertie issue du premier Adam ...
... ou appartenir à la génération du nouvel Adam : Jésus Christ !
En Job 16.19, nous pouvons lire :
« Déjà maintenant, mon témoin est dans le ciel, Mon témoin est dans les lieux élevés. »
Que dira notre "témoin" si nous avons eu honte de Lui pendant cette vie terrestre ?
« Puisse-t-il donner à l'homme raison contre Dieu ... » (Job 16.21)
Jésus, notre témoin, notre défenseur et notre garant intercède auprès du Père et Il affirme :
« Demeurez en moi, et moi en vous ! » (Jean 15.4)
Il pourra proclamer :
"Cet enfant est à Moi ... car il fut en Moi ... et Moi en lui ... c'est Ma génération ... Je demeurerai en lui pour l'éternité ..."
Nous aurons fait le bon choix, au risque de passer pour fous aux yeux du monde en annonçant l'Evangile.
Et pourtant :
« Quelle utilité pour un homme de gagner le monde entier, s’il perd sa vie ? » (verset 36)
Deux générations existent :
- celle qui fut conçue au commencement de la Bible comme l'indique le Livre de la Genèse, dont la chute et les infidélités sont relatées dans le Premier (Ancien) Testament, et qui domine ce monde depuis le commencement,
- celle qui est née par la foi en Jésus Christ et qui est attestée par le Nouveau Testament.
Une génération, dans l'Evangile, ce n'est pas une période de temps mais l'ensemble d'un peuple !
Il est dit de celle-ci en Luc 21.32 que « cette génération ne passera pas .... »
Car à l'image de Jésus, Son créateur, elle connaîtra l'éternité, après avoir vécu le retour du Fils de l'homme « dans la gloire de son Père, avec les saints anges. » (verset 38)
Pour ce qui est de l'autre génération, "adultère et perverse", elle demeurera comme tel jusqu'au retour de Jésus.
« Alors, de deux hommes qui seront au champ, un seul sera pris et l’autre laissé. » (Matthieu 24.40)