AVOIR LA FOI EN DIEU ... CROIRE EN JESUS CHRIST


Le repas de noce.

Livre de l'Apocalypse (19.7 ~ Traduit du grec) :

« Réjouissons-nous et soyons dans l’allégresse,

rendons-Lui gloire, car voici la noce de l’Agneau,

et Son épouse s’est préparée. »

LA BIBLE

AU QUOTIDIEN

Lecture du

28 Décembre


L'Eglise est l'épouse de l'Agneau, c'est-à-dire du Christ.

Cette allégorie illustre la relation entre Jésus et Son peuple qui implique une fidélité réciproque.

Depuis bientôt 2 000 ans, l'Eglise se prépare chaque dimanche au repas du Seigneur institué en ces termes lors de la Cène, le dernier repas de Jésus avec Ses disciples :

« Je vous déclare que je ne boirai sûrement plus, dorénavant, de ce fruit de la vigne jusqu'au jour où je le boirai, nouveau, avec vous, dans le Royaume de mon Père. » (Matthieu 26.29)

Ce vin nouveau sera donc servi en abondance, lorsque Jésus aura institué Son royaume sur la terre.

Ce vin n'aura pas séjourné dans de vieilles outres mais dans des outres neuves qui symbolisent le chrétien régénéré par la conversion.

« Et personne ne met du vin nouveau dans de vieilles outres. Car le vin déchirera les outres. Le vin et les outres seront perdus. Donc au vin nouveau il faut des outres neuves. » (Marc 2.22)

Ce vin nouveau, c'est le sang neuf qui circule dans les veines de celui qui, par le Salut en Jésus Christ, est né de nouveau.

Le peuple de Dieu est ainsi irrigué et revêtu de nouveaux vêtements :

« Et il lui a été donné d'être revêtue d’un lin fin, éclatant et pur. Car le lin fin, ce sont les œuvres justes des saints. » (verset 8)

Ainsi, ce vêtement de lin, nous devons le tisser jour après jour par nos œuvres, par les actes de justice, de solidarité, de compassion, que nous accomplissons dans l'amour du prochain.

Revêtus de nos œuvres, de notre habit de noce, nous pourrons être admis au festin de la noce de l'Agneau.

Jésus nous prévient, dans l'une de Ses paraboles, que l'accès au repas de noce suppose d'être effectivement revêtus de nos œuvres.

Car celui qui aurait pu faire illusion aux hommes, revêtu des apparences de la foi, ne trompera pas le Seigneur qui connaît nos cœurs ...

« Le roi entra pour voir les convives, et il vit là un homme qui n’avait pas revêtu un vêtement de noce. Il lui dit :

Mon ami, comment es-tu entré ici sans avoir un vêtement de noce ? » (Matthieu 22.11-12)

Aussi nous est-il souvent rappelé, lors de la commémoration dominicale de la Cène, de nous examiner régulièrement :

« C’est pourquoi celui qui mange le pain ou boit la coupe du Seigneur indignement, sera coupable envers le corps et le sang du Seigneur.

Que chacun s’éprouve soi-même, et qu’ainsi il mange du pain et boive de la coupe. » (1 Corinthiens 11.27-28)

S'éprouver soi-même signifie que l'on doit être capable de s'examiner, de reconnaître ses péchés et de s'en repentir.

Au terme de millions de repas dominicaux qui commémorent le partage de la Cène, et qui sont autant de repas de noces, sera enfin célébrée LA noce, seule et unique.

Ce sera l'intronisation éternelle de l'Agneau de Dieu.

Les noces de l'Agneau sont venues !

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Les noces de l'Agneau

Livre de l'Apocalypse

Traduit du grec : versets 19.1 à 19.21

1. Après cela, j'entendis comme la voix d'une foule innombrable dans le ciel qui disait : Alleluia ! Le salut, la gloire et la puissance sont à notre Dieu.

2. Ses jugements sont vrais et justes car il a jugé la grande prostituée qui corrompait la terre de sa prostitution, et Il a vengé le sang de Ses esclaves qu'elle avait fait couler.

3. Et ils dirent une seconde fois : Alléluia ! Et sa fumée s'élève aux siècles des siècles.

4. Les vingt-quatre vieillards et les quatre animaux se prosternèrent pour adorer Dieu, qui siège sur le trône, en disant : Amen ! Alléluia !

5. Une voix sortit du trône en disant : Louez notre Dieu, vous tous Ses esclaves, ceux qui Le craignent, les petits comme les grands.

6. Et j’entendis comme la voix d’une foule nombreuse, un bruit de grandes eaux, un vacarme de coups de tonnerre, qui disait : Alléluia ! Car le Seigneur notre Dieu Tout-Puissant est entré dans Son règne.

7. Réjouissons-nous et soyons dans l’allégresse, rendons-Lui gloire, car voici la noce de l’Agneau, et Son épouse s’est préparée.

8. Et il lui a été donné d'être revêtue d’un lin fin, éclatant et pur. Car le lin fin, ce sont les œuvres justes des saints.

9. Quelqu'un me dit : Ecris : Heureux ceux qui sont appelés au dîner de noce de l’agneau ! Puis il me dit : Ces paroles sont les véritables paroles de Dieu.

10. Je tombai à ses pieds pour me prosterner, mais il me dit : Garde-toi de le faire ! Je suis un esclave comme toi et tes frères qui portent le témoignage de Jésus. Prosterne-toi devant Dieu ! Car le témoignage de Jésus, c'est l’esprit de la prophétie.

11. Je vis le ciel ouvert, apparut alors un cheval blanc sur lequel était assis Celui que l'on nomme Fidèle et Véritable. Il juge et combat pour la justice.

12. Ses yeux flamboient comme du feu et Sa tête porte de multiples diadèmes avec un nom inscrit, que personne ne connaît, sinon Lui.

13. Il est revêtu d'un manteau qui a été trempé de sang et Il se nomme la Parole de Dieu.

14. Les armées du ciel le suivent sur des chevaux blancs, revêtues de lin fin, blanc et pur.

15. De Sa bouche sort une épée acérée, pour en frapper les nations et Il les mènera paître avec une verge de fer. C'est Lui qui foule la cuve du vin de la colère ardente du Dieu Tout-Puissant.

16. Il porte sur Son manteau et sur Sa cuisse l'inscription d'un nom : Roi des rois et Seigneur des seigneurs.

17. Je vis un ange debout dans le soleil qui criait d'une voix forte à tous les oiseaux qui volaient au zénith : Venez, rassemblez-vous pour le grand dîner de Dieu !

18. Venez manger les chairs des rois, des chefs d'armées, des puissants, des chevaux et de ceux qui les montent, de tous les hommes libres ou esclaves, petits et grands.

19. Je vis la bête, les rois de la terre et leurs armées rassemblés pour faire la guerre à Celui qui est assis sur le cheval et à Ses armées.

20. Et la bête fut capturée, ainsi que le faux prophète qui, en accomplissant des signes devant elle, avait séduit ceux qui avaient reçu la marque de la bête et se prosternaient devant son image. Tous deux furent jetés vivants dans l'étang de feu embrasé de soufre.

21. Les autres furent tués par l'épée de Celui qui montait le cheval, celle qui sortait de Sa bouche, et tous les oiseaux se rassasièrent de leurs chairs.

Livre de l'Apocalypse : 20.1 à 20.15 >>>


LE LIVRE DE

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